Le salon de l'Agriculture vient d'ouvrir. Deus semaines pour célébrer l'agriculture française. Mais existe-t-il une ou plusieurs agricultures pour approvisionner nos assiettes ?
L'Assemblée nationale va se prononcer cette semaine sur le projet d'une "carte vitale de l'alimentation" créditée de 150€ par mois. L'objectif est d'aider les Français à mieux s'alimenter. Ce projet ouvre, peut-être, une porte à la réflexion sur notre alimentation.
Le sandwich est nomade. C'est sa première qualité. Mais ce n'est pas la seule. Préparé à la maison, ou dans une auberge rurale, il est l'occasion de moments gastronomiques, y compris en pleine campagne.
Le chef Laurent Marcon vient d'être récompensé par le Bocuse d'or, trente ans après son père Régis. Un événement qui nous rappelle que la cuisine est aussi une affaire de transmission.
L'alimentation est essentielle pour bien vieillir, dépassant la simple nutrition pour devenir un vecteur de santé, de lien social et de plaisir.
Il y a juste deux siècles, Brillat-Savarin publiait la Physiologie du goût. Tout en condamnant les excès, il y célébrait les vertus de la bonne chère, source de plaisir et de liens sociaux. Un modèle.
Les repas de fin d'année sont des occasions de partager des délices. Et de privilégier des moments authentiques dans les relations, comme dans les assiettes.
Être attentif au contenu de l'assiette est nécessaire pour apprécier un repas. C'est aussi indispensable à notre santé... et à l'environnement.
Opposer produits bio et produits locaux est un faux débat. Pour cuisiner des produits de bonne qualité, on peut très bien être bio ET locavore.